Confinement oblige, les Français l’attendaient avec impatience ! Disney lance sa plateforme VOD. Depuis le 7 avril, jour de son lancement (avec un peu de retard), l’application est en tête des téléchargements sur l’Apple Store et sur Google Play. Mais même avec son formidable catalogue, la plateforme laisse à désirer.
Un immense répertoire de classiques et de Blockbusters
Disney plus est avant tout une plateforme de vidéos à la demande qui centralise presque tous les classiques Disney donc tous les dessins animés : Plusieurs décennies de films Disney sont désormais à disposition. Blanche neige, Cendrillon, Bambi, Aladdin, Le Roi Lion ou Toy Story, voilà une petite partie des longs métrages cultes que propose Disney Plus.
En plus des classiques Disney, d’autres licences telles que Marvel ou les Star Wars et National Geographic y sont disponibles.
Un numéro 1 pour les familles avec des petits prix et des fonctionnalités intéressantes
Pour y souscrire, il faut compter 6,99 euros par mois ou 69,99 euros par an si vous vous abonnez directement, avec un essai gratuit de 7 jours à la clé. Il est gratuit pour les abonnés d’intégrale + de Canal.
Bref, Disney soigne son arrivée en France. A moins de 7 euros/mois, Mickey et tous ses amis se posent clairement en concurrent direct du géant Netflix mais reste encore plus cher qu’Amazon Prime Video. (5 euros par mois)
Des contenus moins variés et peu d’exclusivités Disney Plus
The Mandalorian. Et c’est tout. C’est l’une des seules nouveautés exclusives les plus attendues pour le lancement de la plateforme. Pour ses débuts, elle se repose donc surtout sur ses piliers et ses classiques. Avec peu de créations originales, beaucoup se demandent si l’offre Disney est vraiment attractive.
Une offre beaucoup plus limitée en France
C’est la faute de la chronologie des médias en vigueur en France. Après la fin de la diffusion en salle des films, il faudra attendre 3 ans pour qu’on puisse éventuellement retrouver le film sur la plateforme. Un problème pour les fans de Marvel comme Antoine, qui s’attendait à avoir l’intégrale des films. Il devra attendre la conclusion de l’arc narratif de ces dix dernières années , Avengers : End Game sorti en avril 2019. « J’en attendais beaucoup plus vu les tarifs annoncés il y a quelques mois. Ils auraient au moins pu négocier un allègement vis à vis de la chronologie des médias. Après tout, les films leur appartiennent. »
Les bandes passantes ont aussi été réduites à la demande du gouvernement afin de favoriser le télétravail. Oubliez donc la 4K promise par la plateforme et prenez votre mal en patience, car l’offre est beaucoup plus restreinte.
Rosalie François
Votre shot d‘infos étudiantes 
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